La domination juive

Publié le par Berserker

Extrait d'un discours - considéré, à tort ou à raison, comme étant à l’origine des «Protocoles des Sages de Sion», ce n’est pas à nous d’en juger, nous laissons le soin à chacun de nos lecteurs de se faire sa propre opinion - du grand maître de la loge B'nai B'rith, en 1897, au 1er congrès sioniste de Bâle, qui a été retrouvé dans une loge maçonnique à Budapest, après la fuite de Bela Kuhn :

1- Rien ne serait plus erroné et nocif pour le bien de notre peuple que d'attendre l'élimination de notre ennemi, avant qu'il n'ait été reconnu, qu'il soit célèbre, et que ses paroles puissent influencer la jeunesse.
Nous devons surveiller la jeunesse chez nos ennemis. Quand nous voyons le plus infime signe de résistance à notre puissance, nous devons le détruire, avant qu'il ne devienne dangereux pour notre peuple.

2- Comme nous contrôlons la presse, notre devoir primordial est d'empêcher que des personnes dangereuses aient accès à des postes, d'où ils pourraient exercer une influence favorable à nos ennemis, par la parole ou par les actes. Nous devons garder le silence et être attentifs, quand nous voyons un homme dangereux s'élever parmi nos ennemis. La plupart en seront détournés dès leur plus jeune âge par l'insuccès de leurs entreprises, ils devront gagner leur pain dans un métier qui les empêche de commettre des actes nuisibles à notre peuple élu.

3- Si un individu devait persister dans son entreprise nuisible, il serait temps d'agir contre lui avec plus de détermination, pour faire échouer ses plans. Nous lui proposerons du travail et un bon salaire, pour qu'il arrête ses actions nuisibles et qu'il travaille pour nous. Quand il aura connu la solitude et la faim, l'or et les belles paroles que nous lui donnerons le détourneront de ses mauvaises pensées. Et quand il connaîtra soudain le succès et la richesse, l'apparat et les honneurs, il oubliera son inimitié et apprendra à paître sur les pâturages que nous tenons à la disposition de ceux qui suivent notre voie et se soumettent au pouvoir du peuple élu.

4- Si cela ne sert toujours à rien et qu'il persiste encore dans son opposition rigide, nos hommes veilleront à ce que le déshonneur le poursuive et à ce que ceux pour qui il se bat et se sacrifie se détournent de lui dans la haine et le mépris. Il sera seul et comprendra l'inutilité de ses actions. Il finira par désespérer de son combat sans fin contre notre peuple, et il périra.

5- Si cela ne nous conduit pas à notre objectif, s'il est assez fort pour poursuivre son chemin en poursuivant des buts qui nous sont hostiles, nous disposons toujours d'un moyen efficace de le paralyser et d'anéantir ses projets. Esther n'a-t-elle pas vaincu le roi des Perses, Judith n'a-t-elle pas tranché la tête de l'ennemi de notre peuple? N'y a-t-il pas assez de filles d'Israël qui sont assez intelligentes et séduisantes, pour gagner leur cœur et entendre leurs pensées, afin qu'aucune parole ne puisse être dite, aucun plan mûri, qui ne vienne à temps aux oreilles de notre peuple?
S'il a une position sociale, la confiance de ses amis et de tout un peuple, et que nous lui envoyions une fille d'Israël, pour l'enjôler, son plan nous sera livré et son pouvoir annihilé. Car là où les filles de notre peuple sont les reines de nos ennemis, les entreprises nuisibles seront détruites avant qu'elles ne se réalisent.

6- S'il découvrait nos stratagèmes et échappait à nos filets, si son esprit mauvais devait trouver des disciples parmi nos ennemis, il doit disparaître définitivement de ce monde. La mort est le passage obligé pour tout le monde. Il vaut mieux l'accélérer pour ceux qui nous sont nuisibles, plutôt que d'attendre qu'ils nous touchent, nous les créateurs de l'Oeuvre.
Dans les loges maçonniques, nous procédons aux punitions de telle façon, que personne, en dehors de nos frères de pensée, ne puisse avoir le moindre soupçon, pas même les victimes elles-mêmes ; elles meurent s'il le faut, mais de mort apparemment naturelle. Les membres de la loge le savent, mais ils n'osent rien dire. Ce type de punition sans pitié a permis de tuer dans l’œuf toute opposition à l'intérieur de nos loges. Tout en continuant à prêcher la libre parole pour ceux qui ne sont pas Juifs, nous tenons notre peuple et ses hommes de confiance en parfaite obéissance.

7- Comme nous vivons une époque instable, que le crime et les pillages ont rendu la vie incertaine, il ne sera pas dur pour nos frères d'éliminer l'ennemi le plus dangereux, par une attaque à l'improviste par exemple. N'avons-nous pas à notre disposition une armée d'indigents chez nos ennemis, qui sont prêts à tout pour de l'or et un secret qu'ils garderont ?
Si nous voulons éliminer l'ennemi, répandons des rumeurs sur l'endroit où il se trouve et là où il réside, pour qu'il vive dans la peur et le danger, et que sa vie soit menacée à chaque instant du jour et de la nuit. Si nous voulons sa mort, organisons des pillages là où il habite, et répandons des rumeurs de danger permanent dans son entourage. Quand le jour de sa disparition sera venu, les gens que nous payons travailleront parfaitement, quand il sera mort, ils le dépouilleront de ses richesses et pilleront le cadavre. Jamais l'auteur ne sera retrouvé, et le monde entier pensera qu'il a été victime d'un accident. Nos ennemis ne sauront jamais que c'est par la volonté de nos frères qu'il a péri, pour que le nom de notre Dieu ne soit jamais désacralisé et traîné dans la boue.

8- Pour que le nom de notre Dieu ne soit pas traîné dans la boue, les sages de notre peuple ont fait ce qu'il fallait, depuis des siècles. Nos frères russes ont trouvé des moyens en interrogeant la science, pour détruire nos ennemis sans que ceux-ci ne s'en rendent compte. N'ont-ils pas trouvé un gaz qui tue instantanément, et un autre que l'on répand juste après, et qui se mélange à lui pour effacer toute trace? Ne connaissons-nous pas les propriétés des courants sans fil, qui mettent en péril l'esprit de la personne dangereuse? Nos médecins n'ont-ils pas découvert les effets des poisons invisibles à travers leur microscope, et le moyen de les dissimuler dans le linge de notre ennemi, afin qu'il agisse sur son cerveau et détruise son esprit? Ne pouvons-nous pas nous charger également de l'autopsie, par la qualité de notre savoir, de sorte que personne ne puisse savoir de quoi il est mort? N'avons-nous pas appris à l'approcher, par un serviteur, par un voisin ou comme invité à sa table? Et ne sommes-nous pas omniprésents et tout-puissants, unis ensemble par le silence, prêts à travailler jusqu'à la destruction complète de l'ennemi? Quand nous venons avec nos paroles douces et un discours inoffensif, un seul des peuples de la Terre a-t-il réussi à découvrir nos réelles intentions et à empêcher nos décisions?

9- Si toutefois, il arrivait à échapper aux pièges que nous lui tendrons et aux stratagèmes de nos frères, et qu'il connaisse et sache déjouer nos plans, vous ne devez pas désespérer et succomber à la peur, devant le regard clair du «méchant». Car celui qui ose parler dans ce pays de nos actions secrètes et de la destruction imminente, ne trouve-t-il pas sur son chemin des hommes qui connaissent l'art d'espionner tous ceux à qui il parle pour connaître leurs intentions? Avant qu'il ne parle à nos ennemis, nous l'aurons fait. Nous les mettrons en garde, contre son esprit perturbé et le désordre qui règne dans ses sens. Quand il viendra raconter sa souffrance et décrire les dangers qu'il vient de surmonter, ceux que nous aurons mis en garde l'écouteront, souriants et pleins de condescendance et de mépris, et ils seront convaincus de sa folie. Nous travaillerons pas à pas, jusqu'à ce que les portes de l'asile se referment derrière lui. Quand il sortira et qu'il cherchera à mettr e en garde le monde contre nous, nous lui aurons ôté la confiance des siens, il sera honni et maudit, ses paroles et ses écrits n'auront plus aucun poids. Ainsi, le peuple élu peut vaincre même le plus dangereux ennemi.



10 -Notre plus grand art et notre premier devoir est d'empêcher que beaucoup ne connaissent les objectifs secrets que nous poursuivons. Quand beaucoup entendront la vraie parole, notre défense sera anéantie et le danger sera grand que les peuples se libèrent de notre joug. C'est pourquoi je vous recommande d'être vigilants, mes frères. Agissez partout, endormez l'ennemi, fermez ses oreilles et rendez ses yeux aveugles, pour que jamais ne vienne le jour de la destruction du royaume de Sion, que nous avons fait croître jusqu'à la perfection, et qui doit nous mener à la victoire et à la vengeance finale sur les peuples asservis du monde entier. Nous ajoutons à cet endroit que pour chaque délit il y a une façon appropriée de mourir. Que ce soit dans une baignoire, dans une voiture, par pendaison (Calvi), par défenestration, chaque type de punition illustre la raison pour laquelle la personne devait mourir. «Il est impératif d'entretenir l'esprit de révolte parmi les travailleurs, car c'est par eux que nous opérerons les révolutions dans tous les pays. Les travailleurs ne doivent jamais être à court d'exigences, parce que nous aurons besoin de leur mécontentement, pour mettre en pièces la société chrétienne et encourager l'anarchie. Nous devons en arriver au point où ce sont les chrétiens qui implorent les Juifs de prendre le pouvoir».

Publié dans Nouvel ordre mondial

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article